QUAND LES SOCIÉTÉS SE PERDENT…
Tu connais cette citation initiée par Voltaire, qui dit que « le mieux est l’ennemi du bien » ? Ce proverbe parlant initialement de la perte du bien, dans la recherche de perfection ; signifie qu’à toujours vouloir chercher mieux, on finit souvent par ne plus voir ce qui est bien. Cette citation s’est transformée au fil des ans ; adaptée à la vie d’aujourd’hui, en devenant celle-ci : « Le trop est l’ennemi du bien » Serge Lapisse.
En parallèle, t’es-tu déjà demandé, pourquoi certaines sociétés fonctionnent mieux que d’autres ? Pourquoi des marketeurs réussissent et d’autres pas ?
Bien évidemment, je pourrais te faire un article sur l’implication, la justesse de l’intention… Ça viendra peut-être. Mais ce n’est pas sûr cette réflexion que je souhaite t’emmener aujourd’hui. Parce que si tu es effectivement un vecteur important de ta réussite, tu n’en es certainement pas le seul facteur !
Alors, aujourd’hui, nous allons parler de choix, de stratégie, de diversité… Mais surtout de ce qui fait la réussite du MLM depuis tant d’années :
L’unicité et l’innovation.
Et si cela fait la réussite de ce domaine, c’est également la base de bien d’autres secteurs, auxquels s’ajoute bien évidemment la qualité.
Et pour cela, nous parlerons de cuisine… Ou plutôt d’émissions culinaires. Nous connaissons tous « Cauchemar en cuisine » : si ce n’est pas le cas, je t’invite à regarder, ne serait-ce que par curiosité, on y apprend beaucoup, si on ne se contente pas juste de regarder pour regarder.
Que ce soit la version française, ou la version anglo-saxonne, les grands principes de bases s’accordent. Après avoir goûté des plats à la qualité douteuse, ils passent à l’hygiène, aux conflits… C’est d’ailleurs probablement ce qui en fait, des émissions à succès. L’humain et son besoin voyeuriste, se délectant du « malheur » des autres.
En ce qui me concerne, ce que j’apprécie, c’est le changement, l’évolution, la renaissance. Et tout cela part d’un bon gros nettoyage ! L’environnement, l’émotionnel, le personnel… Tout y passe !
Mais finalement, dans la plupart des établissements en échec, il existe un point commun.(Enfin, si on enlève la crasse, les dépressions, le laisser-aller, les conflits, la cuisine dégueu…)
C’est : « Le concept, dans le concept, de la carte, dans le flyer, posé sur le panneau… »
En gros :
La lourdeur de la carte…
L’absence de concept…
Trop de concept…
Si la plupart ont vu une opportunité, un rêve qui se réalise… Ils se sont également laissé emporter par leur besoin de toujours faire plus. Par l’illusion du mieux. Parce qu’on se dit souvent que pour capter l’attention, pour attirer le client, il faut être en mesure de répondre à toutes les demandes.
Bilan, le concept initial se perd, une charge mentale et physique se créer, on s’essouffle, on perd en gamme, en qualité (et même s’il arrive que ces points soient maintenus…), le personnel ne sait plus vraiment quoi recommander. Le client se lasse, n’a plus le temps, l’envie… Et petit à petit, l’échec montre le bout de ses tensions.
Si bien qu’après un grand coup de nettoyage, ils prennent la température chez la clientèle, revoient le concept, la carte…
Pourquoi je te parle de ça ?
Après tout, restauration et MLM sont deux mondes totalement différents…Mais en es-tu si sûr ?
Au cours des différentes sessions de formations de la Networkeracademy, beaucoup de marketeurs révèlent ne pas réussir à faire décoller leur activité. Et pourtant, ils apprennent, appliquent, reproduisent, testent… En somme, ils ne se laissent pas abattre, se donnent les moyens.
Et tu le sais, l’échec, l’absence de résultat, épuisent, démoralisent… Entraîne l’abandon.
Est-ce leur faute ?
Où ne se retrouveraient-ils pas dans la même position que le serveur qui en a tellement à la carte, qu’il ne sait plus ?
Sur quoi communiquer ?
Quel produit mettre en avant ?
Quoi conseiller ? Comment ?
Ou encore, leurs clients ne seraient-il pas lassés, dépassés, noyés, dans la multitude de choix que proposerait leur « Styliste – conseiller » en ligne ?
Parce que oui, s’il existe de belles sociétés novatrices, qui mettent en avant la recherche et le développement ; qui utilisent un concept unique, quelques produits phares bien choisis…
Parce qu’il existe dans ce domaine, une multitude de sociétés critiquables en bien des points, mais non-attaquables sur l’originalité ou l’unicité de leurs produits. Quand elles brevettent, elles connaissent l’efficacité, et appuient leur marketing sur l’innovation. Quand un nouveau produit, #UNIQUE, sort dans une société, c’est le feu ! C’est un réel événement qui marque, qui motive et parfois galvanise les troupes !
Pendant des semaines, toute la communication se basera sur cette nouvelle énergie et les ventes décolleront presque par automatisme. Parce l’engouement du vendeur, devient celui du client.
Puis il y a des sociétés « passe-partout », de celles qui surfent sur la vague du MLM, pour profiter de ses avantages. Des sociétés au profil intéressant, mais pas novateur, qui produisent de « l’achat//revente ». Probablement payées par les marques qu’elles revendent pour les promouvoir à « grande échelle ». Puisqu’il est bien connu qu’une publicité faites par bouches à oreilles, même rémunérée, reste moins couteuse qu’une publicité traditionnelle. (Mais ceci n’est que supposition de ma part, bien entendu.)
En soit, c’est déjà un concept.(tout le monde ne naît pas pour « créer »). Celui-ci a même permis l’émergence de jolies sociétés (françaises de ma connaissance), qui partit d’une idée novatrice et/ou de leurs propres créations, ont décidé de mettre en avant de petits fabricants, peu connus, mais dont les produits sont originaux, qualitatifs…Qui se démarquent ! Surfant ainsi sur un engagement français et humain dans leur mode de fonctionnement. Mettant en avant leurs convictions dans leur déploiement marketing.
Mais si ces jolies sociétés existent et fonctionnent, c’est qu’elles ont sélectionné… Leurs prospects ! Elles savent parfaitement se développer, parce qu’elles ont soigneusement travaillé le profil de leurs clientèles, en corrélation avec la qualité et le contenu qu’elles proposent. Leur gamme ne part donc pas dans tous les sens, et n’ont pas pour but de répondre à n’importe quelles demandes.
N’est pas « WISH » qui veut !
Les sites « fourre-tout », ça ne fonctionne qu’en bas de gammes…
Je veux dire par là, que quand une société fait le choix d’exploiter une multitude de terrain : maquillages, cosmétiques de soins, compléments alimentaires, vêtements, parfums…etc. Se voulant proposer une grande quantité de marques « connues » ... Avec l’idée de concurrencer de grandes enseignes en économisant le coût de l’installation de « vraies » boutiques, un peu partout en France… Elle complique tout autant la communication de ses marketeurs et d’autant plus… Si on peut trouver ces mêmes produits dans un magasin à quelques minutes de chez soi.
Dans un premier temps :
Parce qu’il est impossible de maintenir une communication « stable »
Imagine qu’il est déjà complexe de créer une communication attractive lorsque le catalogue ne déborde pas dans tous les sens…
Imagine encore, ce que peut penser un prospect si : un jour, c’est un mascara ; le lendemain une culotte ; puis un brûleur de graisses…etc.
Admettons que ton potentiel client ait vu un produit qui l’est intéressé, mais qu’il n’a pas eu le temps de te contacter, ou pas osé. Il y repense trois semaines plus tard, mais ne saura plus qui c’était où chercher, parce que sur ton fil, ce contenu aura tout bonnement disparu, noyé sous les autres produits.
Dans un second,
Un client en ligne n’a que peu de temps à consacrer à ses achats.
S’il sait ce qu’il veut, il ne voudra pas discuter de tout le catalogue pendant 20 min.
S’il découvre tout juste ce que tu proposes et que tu lui « vomis » le contenu de ton catalogue en quelques minutes. Il fuira !
Si tu lui envoies ton catalogue, tu as une chance sur dix, pour qu’il ne l’ouvre jamais.
D’ailleurs, je ne sais pas pour toi, mais perso, je déteste les catalogues en tout genre, en ligne ou format papier ; si le catalogue à la taille d’un Larousse…(j’ai failli dire « bottin », mais question de génération, j’ai eu peur de te perdre en route.) Même si le contenu à l’air chouette, je fuis ! Ou je feuillette par principe, mais ne m’arrête réellement sur rien.
Idem en ligne, au mieux, je furette, je mets dans mon panier, mais il y a toujours une petite voix qui me dit d’attendre de tout voir pour valider… Bilan, je ne valide JAMAIS !
Parce que je n’ai pas le temps. Parce que mon panier se vide automatiquement. Parce qu’à chaque visite, il faut tout reprendre à zéro ; ou le must, le produit que j’aurais pu acheter est soudainement en rupture…
Bilan !
On le rappelle souvent, mais pour convaincre, il faut de la régularité… Et cela ne concerne pas seulement le nombre de publications que tu vas poster au cours d’une journée ou de la semaine.
(ATTENTION : il ne te sera d’aucune utilité de publier 50 fois dans la journée ! Tu vas faire fuir d’autant plus tes contacts durement gagnés !).
Non, ça touche aussi au contenu. Parce que la régularité, ça a aussi un rôle rassurant pour un prospect en ligne. Donc plus tu as de choix, et plus tu te sens obligé de communiquer sur toutes les gammes de ton catalogue (mais « 50 marques » en une…That is impossible !) ;plus il te faudra de temps pour appliquer une notion de régularité à ton travail. Et finalement plus tu auras de difficultés à garder l’intérêt de tes potentiels clients.
C’est pour cette raison, qu’il est impératif, pour toi d’avoir une vision claire de TA société… Et je parle bien de toi, pas de la marque que tu représentes. Il faudra donc que par toi-même, tu définisses qui tu veux pour clientèle, et donc quels produits de la gamme tu veux pouvoir lui présenter.
Si cette image peut t’aider à visualiser l’idée : ta boutique touche-à-tout :
Tu as 30 ans, tu te maquilles, mais sans passer des heures dans ta salle de bain, tu n’as pas besoin de perdre du poids, tu utilises la gamme de soin visage, mais pas les couches spéciales incontinences…
Qu’attires-tu si tu ne parles qu’exclusivement de ce que tu utilises (où pourrais utiliser) et que tu partages SEULEMENT les retours de tes clients sur la même gamme ?
En t’autorisant « de temps à autre » une publication plus large qui rappelle la complexité de ta boutique.
De ce fait, faire de la pub sur les couches incontinences ou la perte de poids, t’attirera un profil tout à fait différent… Ce qui te fera perdre ta clientèle de base et probablement ton temps.
Ta réussite ne se jouera donc pas sur la quantité, mais bel et bien sur la qualité de ta communication et sur ta capacité à cloisonner ton catalogue surchargé en fonction de ce que tu souhaites construire.
Il est évident que, quand tu as trop de choix en boutique, si ne veux pas perdre ta base de clientèle, ton profil de prospection doit refléter ce que tu es, et les produits que TOI tu veux proposer.
(On n’est pas tous à l’aise avec les culottes menstruelles ou le maquillage sophistiqué, et c’est OK !).
En bref, c’est grâce à ce type de sociétés que l’idée de considérer nos marques SEULEMENT comme des FOURNISSEURS, prend tout son sens.
Lorène Seulin.
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